Comme tous les étés je retourne dans ma famille. Généralement j'arrive seul, avant tout le monde j'ai quelque jour pour préparer la maison à recevoir tout le monde. Cette année contrairement à
d'habitude, ma sœur est arrivée avant moi et en avait profité pour inviter quelques amis à elle. Parmi eux se trouvait Isabelle : la trentaine, une petite brunette pleine de charme et
bourrée... de sensualité.
Ma sœur me présente à elle, le courant passe vite entre nous. Nous discutons de tout sans aucune prise de tête. Ma sœur continue de s'amuser de son côté et ne s'occupe pas de ce que je fais et
heureusement.
Car Isabelle commence à se sentir un peu chaude. Elle enlève sa veste pour être plus à l'aise. Elle se retrouve en jean moulant et débardeur noir faisant bien ressortir ses formes
voluptueuses.
Je ne peux m'empêcher de regarder sa poitrine et elle le remarque.
Elle me sourit lorsque je remonte mes yeux vers les siens. Nous continuons de discuter tranquillement. La soirée se passe. Tout le monde repart chez eux, je demande à Isa si je la reverrai elle
me répond avec un simple sourire. Elle nous dit au revoir, à ma sœur et à moi.
En allant me coucher je commence à fantasmer sur cette nouvelle rencontre...
Le lendemain, ma sœur me dit qu'elle a rendez-vous avec des amis toute la journée. Je lui demande si elle a prévu de revoir la jeune femme aujourd'hui. Elle me répond que normalement elle la
revoit en début de soirée.
Sur le coup de 11h, on sonne à la porte, moi toujours en caleçon, je suis un vrai légume en vacance, je vais ouvrir pensant que c'est le courrier. En ouvrant la porte, se tient derrière
Isabelle, encore plus belle que la veille.
Laissez-moi vous la décrire.
Elle est de taille moyenne genre 1.65m pour une cinquantaine de kilos, des seins bien ronds une bouche sensuelle, si j'étais vulgaire je dirai qu'elle était faite pour encaisser ma queue. Des
yeux verts et le teint mate, des cheveux noirs et lissés vraiment une nana qu'on ne rencontre pas partout. Elle portait cette fois ci, un haut noir aussi moulant que la veille et une mini jupe
blanche qui montrait un cul bombé.
En me voyant en caleçon elle me demanda si elle me dérangeait, je répondis que non et l'invita à entrer. Je lui proposer de boire un jus d'orange pendant que j'allais m'habiller. En revenant un
peu plus vêtu, je lui dis qu'Anne, ma sœur, ne serait pas là de toute la journée. On passa au salon.
Je la suivais du regard s'assoir. Elle me dit qu'elle a beaucoup pensé à la veille et qu'elle regrettait d'être partie. Je lui montrai ma déception et lui avoua que j'ai même commencé à
fantasmer sur elle.
Elle me sourit à nouveau et me demanda de lui raconter une chose que j'aimerai faire avec elle.
Je lui dis que bizarrement, que je rêvais qu'elle se pointe alors que je suis seul chez moi.
Plus je lui racontais et même brodais un sur mes histoires, je la regardais droit dans les yeux. Je ne pouvais m'empêcher de remarquer qu'elle n’arrêtait pas de remuer, comme si elle était mal
assise, je lui demandai si c'était le cas, elle me répondit que non qu'au contraire que mon fantasme l'excitait.
Elle écarta alors les cuisses et me demanda si ça ne me gênait pas qu'elle retire son string. Je lui proposai alors de le lui retirer moi même.
Elle accepta.
Je me mis à genoux, passa mes mains le long de ses jambes en les caressant, elle lâcha un soupir en reposant sa tête en arrière. Je plaçai mes mains sous sa jupe attrapa l'élastique de son
string mais au lieu de lui retirer je m’amusai à lui claquer contre sa taille. J’embrassai sa chatte à travers son string qui était bien trempé. Je lui dis de se mettre à genoux dos à moi sur
le divan. Elle me demanda le mot magique... je lui répondis "plus vite que ça salope" avec un sourire.
Contre toute attente de ma part, elle s'exécuta sans soucis. Je compris alors que je pourrai tout me permettre avec elle, elle était en une seule phrase de ma part devenue ma chienne.
Une fois à genoux, je relevai assez brusquement sa jupe, et tira comme un forçat sur son string pour qu'il rentre le long de sa chatte. Elle me disait de ne pas tirer trop fort mais je ne
pouvais m'empêcher de lui répondre qu'elle aimait ça vu l'état de son string.
Inutile de préciser que je bandais comme un fou, prêt a tout défoncer et c'était elle qui allait tout prendre.
Je continuai à tirer sur son string mais il n'a pas tenu, un coup de trop et le voilà qu'il craque. Le string ne tient plus que par la taille d'Isabelle. Elle me regarda alors, pensant que
j'allais me faire engueuler, je lui souris (un sourire arrange parfois bien des choses dans les pires situations), elle me dit alors :
"tu n'as plus d'obstacle pour me baiser maintenant".
Je l’embrassai en lui mettant directement deux doigts dans sa chatte.
Je baissai avec mon autre main mon short et mon caleçon. Je frotta ma queue contre son cul elle le sentit puis me dit : 'si t'es sage"... je la pris alors par une épaule, plaça ma queue au
porte de sa chatte ruisselante de mouille et enfonça profondément et le plus fort possible dans sa chatte. Comme je l'avais peu doigté, sa chatte était un peu étroite.
En sentant ma queue la pénétrer, elle me dit qu'elle ne pensait pas qu'elle me faisait autant d'effet.
Je lui répondis : " c'est que tu es une bonne petite salope c'est pour ça" et elle me répondit à cela :
"pour toi je serai carrément un bon vide couilles".
Je n'avais jamais rencontré en réel une telle salope, je lui attrapai les cheveux qui descendaient le long de son dos et les tira vers l'arrière tout en l'insultant de pute, de salope, de vide
couille... bref tout ce qui me passait par la tête.
Elle acquiesçait à tout ce que je disais et même elle en rajoutait en disant qu'elle ne méritait que de la bonne bite, qu'à être là que pour recevoir sa dose de sperme.
En entendant cela j'accélérais mes coups reins pour aller de plus en plus loin. Ses cris et ses gémissements laissaient paraître que j'y allais un peu trop fort qu'elle en souffrait un peu mais
étrangement elle me demandait de continuer de lui bourrer sa chatte de chiennasse de petite pute.
Sans la prévenir, je sortis de sa chatte et commença à la redoigter son trou pendant que je préparais ma queue à lui défoncer son cul de salope. Je mis mon gland contre son trou et avant
qu'elle ne put approuver ou désapprouver je l’introduis. Son cul était tellement serré que ma queue a eu du mal à faire pénétrer son gland. Je due forcer elle me demandait parfois d'arrêter,
alors j'arrêtais mes coups, je la sentais qui reprenait son souffle et ses esprits. Et quand elle s'y attendait le moins je continuais à lui introduire ma queue dans son cul de chienne.
Je lui demandais si elle aimait ma bite elle me répondit : "En bonne salope, je ne peux que dire oui", l'ambiguïté de sa réponse me déplu et je forçai encore plus fort ma queue à entrer
dans son cul. Elle ne comprit pas pourquoi je lui faisais ça. Je lui répondis :" C'est parce que tu es une bonne salope que je te fais ça"
Et en la rattrapant par les cheveux et la tirant aussi fort que possible je m'amusa à faire comme si je galopais sur une jument en lui claquant en plus son cul bombé, je lui claqua tellement
fort qu'il en est devenu tout rouge.
A ce moment là, elle me demanda si elle pouvait jouir. Je lui ai dit que je n'y voyais pas d'inconvénient mais qu'ensuite elle devra accepter tout ce que je souhaite. Elle remua alors son cul
et mes coups de reins se firent de plus en plus forts. Elle fini par jouir, je vis ses pieds se tordre, ses mains se crisper contre le canapé.
Je plaçai à mon habitude mes mains sur ses seins pour sentir aussi son cœur battre fort.
Je la poussa ensuite sur le canapé, l'embrassa et lui donna une gifle en lui disant : " à genoux sale pute"
elle s'exécuta - "ouvre la bouche" - elle s'exécuta. Je lui présentai ma queue. Je n’osais pas la touché sachant le lieu qu'elle venait de visiter mais pris la tête d'Isa et lui fit
bouffer ma bite.
Isa devait avoir le cul propre car elle n'a pas été dégoûtée par ma queue. Je m’amusai, encore, à lui baiser sa bouche, un peu à l'étouffer, a lui donner la nausée. Et quand j'eus finit de
m'amuser je me branlai sur sa tronche de chienne et éjacula tout mon foutre. Elle me demanda ensuite si elle pouvait aller se laver, je lui répondis que non et lui demanda de partir la gueule
pleine de sperme.
Elle s'exécuta à nouveau. Le soir nous nous revîmes, mais nous fîmes comme si de rien n'était....
Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|